À chaque fois, un sac était soigneusement équipé d’un traceur GPS. En contrepartie de ce service et de la promesse de déposer les gravats en déchetterie, les ‘débarrasseurs’ recevaient entre 100 et 120 euros. Une transaction en liquide puisque cette pratique est illégale.
L’expérience a vite rendu son verdict. Sur les cinq transporteurs, trois d’entre eux ont bel et bien respecté le deal. Les deux autres ont déchargé les sacs où bon leur semblait. Et l’un des traceurs a même amené les enquêteurs sur l’une des plus grosses décharges sauvages de déchets de la région parisienne.
Utile ces petits boîtiers 😎.